14 mai 2009
Dehors
Chaleur étouffante remontant à la gorge,
A la fenêtre, la pollution qui se forge.
Des nuages noirs qui glissent sur les montagnes,
Et les arbres marrons que personne n'épargne.
L'épaisseur du ciel gris éteignant toute joie,
Silhouettes des oiseaux figés sur les toits.
La luminosité qui se fait absente,
Et l'unique ombre demeure omniprésente.
Une atmosphère qui repend le malheur,
Telle est ma vision de l'air à l'extérieur.
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