La mort de l'oiseau
Il n’a pas fait attention,
Au chasseur qui fit sont apparition,
Et qui lui tira dessus à son aise.
L’oiseau dégringola,
Puis l’oiseau s’écrasa.
Il tente de s’envoler,
Il essaye de s’échapper.
Il laisse sur son sillage,
Le rouge de son sang,
Qui coule de son plumage,
Noir, brun, marron et blanc.
L’oiseau fait demi-tour,
Observe son assassin,
Son assassin qui cours,
Chercher l’oiseau qui s’éteint.
Oiseau meurt.
Ce qu’il représente meurt.
Chasseur meurt.
Son âme, sa dignité meurent.
Témoins meurent.
Souillé de cette vision.
Et ciel meurt.
Privés de son oisillion.
Tout ce qui se trouve autour s’éteint,
Le chasseur, lui s’en va, l’air de rien.
L’oiselet attend dans le nid,
Son frère est avec lui,
Ils se demende donc pourquoi,
Maman ne revient pas ?
Tout deux, à leur tour, meurent.
Le père, de chagrin, meurt.
Tout s’éteint,
Sous le coup d’un chasseur,
De cet oiseau qui pleure,
Tout s’éteint…
L’oiseau défunt devient repas,
Les enfants adorent ça,
L’oiseau malgré son viel âge,
N’a pas le droit à des hommages.
Il est dévorer, et bien qu’apprécier,
L’oiseau mort est à présent oublié.
La famille du chasseur fut nourrie,
Celle de l’oiseau n’a pas survécu,
Ils sont dévorés par les fourmis,
La famille fourmis a survécu.